À l'intérieur des lymphocytes b.
Absence d immunoglobuline monoclonale. Réponse suite à une série d’analyses, une immunoglobuline monoclonale de type g a été détectée. Conduite à tenir par le biologiste médical ´la caractérisation d’une anomalie de l’électrophorèse suspecte d’être une immunoglobuline monoclonale est réalisée. Sériques évoquant une immunoglobuline monoclonale ?
Mais parfois, il n’y a pas de pic visible : Classification du myélome multiple selon durie et salmon. L’anémie est souvent le premier signe de mm, elle peut être due à l'atteinte des autres cellules de la moelle osseuse par envahissement des espaces médullaires mais le plus souvent elle est liée à des anomalies cytokiniques qui modifient l’érythropoïèse, elle est aggravée par l’insuffisance rénale et le déficit en érythropoïétine
De façon globale, 70 % des ig monoclonales sont des igg, 15 % des iga et 15 % des igm. Outre les causes réactionnelles possibles. Elle s’intègre dans une stratégie globale de recherche d’ig mc, comportant une électrophorèse des protéines sériques, un dosage des immunoglobulines sériques et, éventuellement, une recherche de cryoglobuline.
La plus grande sensibilité des méthodes de détection actuelles a multiplié les découvertes d’immunoglobulines monoclonales « bénignes ». Une anomalie du sang à surveiller de près. L’absence de pic étroit à l’électrophorèse ne permet pas d’écarter le diagnostic de myélome à chaînes légères [10 % des myélomes] ou non sécrétant.
On note cependant dans 80 % des cas une diminution globale de la concentration des immunoglobulines dans le sérum. L'igd est généralement liée à une autre immunoglobuline, l'igm. Chaînes legeres libres d’immunoglobulines les « protéines de bence jones » sont constituées de chaînes légères libres (cll) monoclonales d’immunoglobulines (ig), d’isotype kappa (κ) ou lambda (λ), de poids moléculaire (pm) 23 000 da ;
Anticorps issu d'une seule lignée de cellules (clones), ce qui leur confère une homogénéité anormale. La méthode d’élaboration des fiches mémo est une méthode pour produire des recommandations ou messages clés dans un temps court (6 mois environ) et. Son diagnostic repose sur la découverte, le plus souvent fortuite, d’une immunoglobuline (ig) monoclonale à faible concentration sanguine (< 3 g/dl) associée à l’absence de symptômes de myélome ou de lymphoprolifération maligne et à une faible plasmocytose médullaire (< 10 %).